Suivant la diffusion d’un communiqué de presse émis par le syndicat des pompiers vendredi dernier, la mairesse Audrey Boisjoly a réalisé des entrevues médiatiques afin de rétablir certains faits.
En premier lieu, nous tenons à mentionner qu’il n’y a aucun enjeu de sécurité publique lié à la suspension de quatre employés du service de protection et d’intervention d’urgence. Le schéma de couverture de risque incendie a été respecté en tout temps. Le recours à l’entraide est un acte normal et courant dans la réponse de nos services d’urgence. C’est d’ailleurs le cas pour toutes les municipalités du Québec.
La Municipalité reconnait que le climat est tendu à la caserne et c’est pour cette raison que nous participons à une médiation. Nous croyons d’ailleurs au processus pour lequel nous comptons collaborer et faire des propositions constructives. Nous ne le commenterons donc pas sur la place publique. La médiation est une démarche de nature volontaire pour les parties impliquées et confidentielle. Contrairement à ce qui a été avancé, elle a seulement été suspendue jusqu’au retour des Fêtes à la demande du médiateur.
De plus, nous ne commenterons pas sur la place publique les dossiers disciplinaires de nos employés.